Coucou me revoilou !(on ne dirait pas comme ça mais cette phrase me fait physiquement mal)
Avant toute chose, un indice sur la playlist qui décoiffe mon brushing au moment où j'écris ces lignes :
La légende raconte que sur les plateaux des Highlands naquirent trois jeunes gens.
L'un était petit, gros et fourbe.
Le deuxième était plutôt de taille moyenne, avare et mesquin.
Le dernier, quant à lui, cachait sa laideur derrière de gigantesques oreilles.
En ces temps de disette et de misère, la vie était rude.
Bannis par leur tribu et par l'underground (ndlr : maxilol), ils se réfugièrent dans une tanière sombre et malodorante.
Quand un jour, alors qu'ils étaient en chasse dans une forêt bétonnée, ils firent la connaissance d'un druide au rendement médiocre mais bénéfique sur le plan subjectif (ndlr : mais qu'est ce que ça peut bien vouloir dire ?)
C'est alors qu'ils se mirent en quête du manal sacré qu'ils avaient dans leur poche.
Était-elle trouée ?
Mais ceci est une autre histoire...
Alors ? Non ? Un petit effort...
Vous ne pouvez pas entendre... le chant des druides ? Et oui je me fais un petit revival Manau, mais attention, je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître : l'époque bénie de Panique Celtique (dont l'indice en est le titre d'intro), époque révolue où ils étaient encore trois...
... et ou les rebelles portaient la casquette à l'endroit.BREF. Tout ça pour dire : putain, la chanson Un mauvais Dieu est vraiment trop ouf dingue !
Comme vous vous en êtes aperçus avec perspicacité, ce blog était un peu moribond... Alors que pourtant, j'avais plein de choses à raconter. J'ai eu l'idée de plusieurs posts, mais ma légendaire flemmardise m'a empêchée de concrétiser ces idées en articles. Oops, I did it again!
Je voulais vous parler du CAPES, d'hommes célèbres aux poses ridicules (oui bon, je fais des articles futiles si je veux, merde), je voulais vous raconter Paris, Lille, ma nouvelle vie en blonde (= comme l'ancienne, mais en blonde. Hop, ça c'est fait), je voulais vous parler d'amour et de lunettes 3D, je voulais réagir sur l'actualité politique (non je déconne), je voulais parler de lectures en allemand (ou pas...), de concerts qui déchirent sa mémé, de soirées de franche camaraderie, de mon imitation très réaliste de l'accent du Sud, de séries télé, de films, de musique, de tout, de rien, des choses de la vie, du temps qu'il fait, du temps qui passe, et sinon vous ça va ?
Mais voilà finalement je n'ai parlé de rien de tout ça, et cet article sera le dernier avant quelques temps car je pars en Angleterre pour... travailler. Je suis comme ça moi.
Alors pour me faire pardonner je vous ai préparé un petit résumé en images, comme ça ça m'évite d'écrire et ça vous évite de lire, tout le monde gagne.
Et c'est parti pour quelques mois de ma vie très intéressante en quelques images non moins intéressantes (enfin ça, c'est à vous de juger, comme dirait le casque capillaire qui contrôle le cerveau d'Arlette Chabot).
A gauche sur cette photo, Dieu
Ou comment allier bite attitude et romantisme effréné.
Le Coeur a ses raisons, c'est très... intéressint.
Pendant mon absence il y a aussi eu la Journée de la Femme.
"When the sun goes down, the lord goes to town"
"When the sun goes down, the lord goes to town"
J'ai regardé des Freddy et j'ai beaucoup écouté Lady Gaga. Ou le contraire, je ne sais plus bien.
J'ai vécu un concert de bonheur musical et visuel au milieu de pogoteurs tatoués.
J'ai visité Paris en 1950
J'ai eu la classe picarde.
Le CAPES est un arc-en-ciel de brouillons, un festival pour les yeux, un régal pour les sens, une farandole de couleurs, un... ad lib.
Après l'effort, le réconfort. NB : je n'étais pas toute seule, je ne fais pas non plus n'importe quoi...
(mais puisque je vous le dis !)
Voilà, je crois que c'est à peu près tout... Enfin, tout pour ce quoi j'ai des photos. Sinon j'ai aussi rencontré un certain Eduardo Alfonso dans la rue qui m'a interviewée (parce que je suis "gracieuse", si si), prise en photo sur un banc (trop fou ma vie, je vous l'avais dit) et qui m'a informée que j'avais une tête à chapeau. Je suis bien contente de le savoir.
Et cet après-midi, une animatrice Granola m'a offert un cookie gratuit, je me suis sentie très honorée. Oui bon d'accord elle en donnait à tout le monde pour faire la promo, mais j'ai senti en lui disant bonjour et au revoir qu'elle était particulièrement ravie de me donner un cookie à moi, je suis sûre qu'elle a choisi le meilleur de la boîte exprès pour mes beaux yeux.
Voilà, je crois que maintenant tout le monde a compris que je mène une vie sensationnelle, faite de rebondissements en tous genres et où l'imprévu le dispute au cocasse. Je sens que vous êtes tous jaloux, et c'est bien normal.
Hein, quoi, qu'entends-je, qu'ois-je (non, je n'ai pas dû aller vérifier la conjugaison du verbe ouïr, vous me prenez pour une buse ou quoi) ? "Bon, quand donc va-t-elle enfin arrêter de nous tenir la grappe avec sa vie pourrie, j'ai un rôti dans le four moi !" : soyez forts, vos souffrances touchent à leur fin.
Mais je vous refais le même genre de post dans deux semaines en revenant d'Angleterre, c'est promis.
On se quitte avec, dans l'ordre : le meilleur mash-up du monde, un chiffre super intéressant, un très joli clip d'une chouette chanson, un jeu de mot plus moisi que le fond de mon évier sale, et les meilleures 7 minutes de rire de votre vie.
3, 2, 1, GO !
1. Quand The Notorious B.I.G. rencontre The xx, ça donne ça :
3. Do you believe in magic?
Non, là, je m'incline, je ne PEUX PAS rivaliser.
Et cet après-midi, une animatrice Granola m'a offert un cookie gratuit, je me suis sentie très honorée. Oui bon d'accord elle en donnait à tout le monde pour faire la promo, mais j'ai senti en lui disant bonjour et au revoir qu'elle était particulièrement ravie de me donner un cookie à moi, je suis sûre qu'elle a choisi le meilleur de la boîte exprès pour mes beaux yeux.
Voilà, je crois que maintenant tout le monde a compris que je mène une vie sensationnelle, faite de rebondissements en tous genres et où l'imprévu le dispute au cocasse. Je sens que vous êtes tous jaloux, et c'est bien normal.
Hein, quoi, qu'entends-je, qu'ois-je (non, je n'ai pas dû aller vérifier la conjugaison du verbe ouïr, vous me prenez pour une buse ou quoi) ? "Bon, quand donc va-t-elle enfin arrêter de nous tenir la grappe avec sa vie pourrie, j'ai un rôti dans le four moi !" : soyez forts, vos souffrances touchent à leur fin.
Mais je vous refais le même genre de post dans deux semaines en revenant d'Angleterre, c'est promis.
On se quitte avec, dans l'ordre : le meilleur mash-up du monde, un chiffre super intéressant, un très joli clip d'une chouette chanson, un jeu de mot plus moisi que le fond de mon évier sale, et les meilleures 7 minutes de rire de votre vie.
3, 2, 1, GO !
1. Quand The Notorious B.I.G. rencontre The xx, ça donne ça :
juicy-r [the notorious b.i.g.'s juicy vs. the xx's vcr] - wait what (mashup) from wait what on Vimeo.
Si vous n'aimez pas, vous pouvez aller crever au fond d'un bois, je ne vous pleurerai pas (mais je suis gentille en vrai).2. Le chiffre du jour : 67% des hommes sont heureux en couple quand sont réunis la complicité, l'humour et le rire (source très très scientifique : Biba)
Ca tombe bien j'ai plein de blagues de Toto en stock, viendez les hommes ! (mais à mon avis ils ont menti, quand même)
Ca tombe bien j'ai plein de blagues de Toto en stock, viendez les hommes ! (mais à mon avis ils ont menti, quand même)
3. Do you believe in magic?
4. RESPECT
5. Ménard & Berthier forever.
Si comme moi vous étiez des loseurs avant car la télé de papa-maman ne captait pas Canal+ et que par conséquent Nulle Part Ailleurs, c'était surtout ailleurs que chez vous, jetez-vous donc sur les Messages à Caractère Informatif, c'est de l'or en barre, du rire à la pelle, de l'humour par fournées, du... je crois que vous avez compris.
Vous pouvez respirer, j'ai enfin fini ! Prenez donc une minute et/ou une aspirine pour vous remettre de vos émotions.
Sur ce, a ciao bonsoir, hasta la vista baby.
Moi aussi je vous aime.
Sur ce, a ciao bonsoir, hasta la vista baby.
Moi aussi je vous aime.
